Carrasso et Vercoutre se souviennent du bon vieux temps
A 36 et 34 ans, Rémy Vercoutre et Cédric Carrasso ont des choses à raconter. Et après le triste Bordeaux/Caen (0/0) d’hier soir, les deux gardiens, décisifs pour préserver leur cage inviolée, se sont confiés à Canal + à propos d’une complicité qu’on ne soupçonnait pas forcément.
Carrasso : « On se croise et on se connait depuis tellement longtemps… Depuis les catégories de jeunes. »
Vercoutre : « On a vécu des moments chauds ! (rires) »
C : « Oui, quand il était à Lyon et moi à Marseille, pendant les matches… Après, ça reste du foot. Voilà. Moi, comme je dis toujours, je suis admiratif de ce que font mes ainés. Je n’ai pas spécialement d’anecdotes sur lui. Mais j’ai bien aimé les coups de gueules de Laurent Spinosi, mon ancien entraîneur, avec Rémy. C’était marrant des fois entre ces deux là…. »
V : « Moi j’ai souvenir qu’avec Cédric on avait joué l’un contre l’autre pour ce qui était à l’époque le 1000ème match de Canal +. C’était un très gros match, qu’on avait gagné avec Lyon. On avait pris, je pense, un plaisir énorme, car c’était au Vélodrome, dans une ambiance bouillante. Une belle soirée de football dont je garde un grand souvenir. »
Vercoutre : « On a vécu des moments chauds ! (rires) »
C : « Oui, quand il était à Lyon et moi à Marseille, pendant les matches… Après, ça reste du foot. Voilà. Moi, comme je dis toujours, je suis admiratif de ce que font mes ainés. Je n’ai pas spécialement d’anecdotes sur lui. Mais j’ai bien aimé les coups de gueules de Laurent Spinosi, mon ancien entraîneur, avec Rémy. C’était marrant des fois entre ces deux là…. »
V : « Moi j’ai souvenir qu’avec Cédric on avait joué l’un contre l’autre pour ce qui était à l’époque le 1000ème match de Canal +. C’était un très gros match, qu’on avait gagné avec Lyon. On avait pris, je pense, un plaisir énorme, car c’était au Vélodrome, dans une ambiance bouillante. Une belle soirée de football dont je garde un grand souvenir. »
Pour finir, les deux hommes ont poliment refusé de se faire un bisou face caméra, comme cela leur était demandé. « Ça va aller, on reste quand même sage… » a rigolé Carrasso, en tapant sur l’épaule de Vercoutre.