Quand Di Meco a failli signer aux Girondins, sous l’ère Courbis…
(…) Rolland, tu ne t’en rappelles plus, mais on a failli travailler deux fois ensemble. Une fois, quand j’étais à Monaco, et l’autre fois, il était à Bordeaux. Il veut me faire venir, on mange ensemble sur Monaco, là il me présente son projet et tout, comment il me voit dans son équipe… Moi, ça me faisait plaisir de manger avec lui, mais à la fin du repas je lui dis : ‘Non, mais, Rolland, si tu me prends tu fais pas une bonne affaire, parce que je suis au bout’. Je sentais déjà que j’étais au bout, et 3 mois après je me pète le genou et je ne rejoue plus jamais de ma vie. J’ai été honnête sur ce point, ce qui est assez rare. En plus, tu me transmettais une super proposition financière, hein Rolland (rires). Et donc lui il ne comprenait pas mon refus. Quand je lui ai dit ‘Non’ pour aller à Bordeaux, il m’a regardé et il m’a dit : ‘Toi, ou tu es fada ou tu es très riche !’. Je lui ai répondu : ‘Je suis ni fada ni très riche, je suis cuit’ (rire). »