Andréa Lardez : « Notre plus grosse qualité, notre force, c’est qu’on garde le sourire jusqu’au match »
« Désolée pour la voix, j’ai un peu chanté hier (jeudi), j’y ai laissé ma voix… On est rentrées en train, on a pris le métro, un déplacement comme un autre… Il nous arrive toujours plein d’aventures, donc ça a bien clôturé l’année. »
D’entrée de jeu, hier dans l’émission GA, Andréa Lardez avait bien donné le ton. Car si les Girondines se sont finalement maintenues en D1, in-extremis, à Charléty, sur le terrain du Paris Saint-Germain (match nul 2 buts à 2), elles le doivent à leur talent, leur travail et leur abnégation, mais aussi à une sacrée mentalité collective et un bel esprit de groupe.
« Je pense que notre plus grosse qualité, notre force, c’est qu’on garde le sourire jusqu’au dernier moment, en ne se mettant à fond dans le match qu’à partir du moment où on rentre dans les vestiaires, puis sur le terrain pour s’échauffer. On garde toujours le sourire, on chante, on rigole, on prend des photos, on écoute de la musique, et on bascule dans l’état d’esprit du match juste avant, quand il faut. Le voyage-aller, il s’est très bien passé, on a joué aux cartes, on a regardé des films, on a rigolé. Les deux jours se sont passés comme ça. On savait aussi que le maintien ne dépendait pas que de nous, de notre exploit qu’on devait faire à Paris ; mais aussi du résultat de Saint-Étienne contre Guingamp ; donc la pression n’était pas que sur nos épaules, alors on a joué le tout pour le tout, comme sur les derniers matches. »