Feindouno : « À une heure près, c’était fini »
« Pendant la rencontre, tout s’est bien passé, je n’ai pas eu de problèmes particuliers. Et puis, lorsque je suis rentré aux vestiaires, à l’issue du match, j’ai ressenti une forte douleur au niveau de la poitrine. Je suis tout de même allé prendre ma douche et là, j’avais encore mal. J’ai pensé qu’il fallait prévenir les médecins. Je ne suis pas tombé, j’étais conscient. Il n’y a pas eu de malaise. L’ambulance m’a ensuite emmené aux urgences à Bâle où je suis resté quelques jours avant d’être transféré à Lausanne. Là-bas, on m’a demandé par qui j’étais suivi. J’ai dit par la fille du président stéphanois Roland Romeyer (cardiologue). Ils ont pris contact avec elle. Ça fait peur, oui, ça m’a fait peur. À une heure près, c’était fini. »