Cette « paresse sociale » dont souffrent les Girondins
» J’ai fait part de mon ressenti. Depuis quelques semaines, des choses vont moins bien et il m’a semblé plus facile de le dire maintenant » explique ainsi l’entraîneur des Girondins à 3 jours du match à Paris..
Adjoint de Willy Sagnol et aussi compétent en matière de préparation mentale, Sylvain Matrisciano a pris part à ce recadrage de la part du staff technique vis à vis des joueurs et a trouvé un terme pour caractériser le mal, récurent ces dernières années, des Bordelais à être réguliers, notamment face aux « petits » : celui de la « paresse sociale ». Un concept qui a parlé à Julien Faubert et dont on attend maintenant qu’il soit combattu par l’équipe sur le terrain et au quotidien lors des entraînements au Haillan :
» C’est un terme que j’aime beaucoup. Cela signifie qu’on attend toujours de l’autre qu’il fasse le travail qu’on n’a pas les jambes ou le mental de faire. C’est la pire des choses, c’est l’effet pyramide, à la fin plus personne ne fait rien et l’équipe n’avance plus. «