JLT veut garder les pieds sur terre malgré le Nouveau Stade, un naming toujours d’actualité
Alors que Sud Ouest nous informe que l’inauguration officielle du Nouveau Stade de Bordeaux, réservée – comme son nom l’indique – aux… officiels (mairie, collectivités, Girondins, constructeurs) et à quelques 2000 invités et partenaires choisis, aura lieu le 18 mai ; soit 5 jours avant l’inauguration pour le grand public et le match Bordeaux – Montpellier ; nous en savons aussi un peu plus sur ce qu’il s’est dit lors de la conférence de presse d’hier dans l’auditorium de la nouvelle maison du FCGB.
Le site de 20 Minutes nous relaye ainsi les propos mesurés (rabat-joie ?) de Jean-Louis Triaud sur les conséquences de ce déménagement pour le standing du club. Le président des Marine et Blanc expose donc que « Ce n’est pas l’outil qui fait l’ouvrier. Ce n’est pas parce qu’il y a un Nouveau stade que l’ambition va augmenter et que le budget du club va connaître une hausse de manière substantielle. Les ambitions sont les mêmes, à savoir essayer de se qualifier le plus souvent possible pour l’Europe. (…) On n’a pas absolument besoin d’une tête de gondole, mais cela ne veut pas dire qu’on ne serait pas heureux de revoir Gourcuff à Bordeaux ».
Enfin, à travers les tweets, dont ceux des journalistes présents durant ce point presse, nous apprenons que deux groupes français et même une entreprise internationale sont en discussions avec Vinci, le constructeur principal du stade, pour en devenir « nameur », contre 3.8 millions d’euros par an. Si l’enceinte n’aura pas encore son nom définitif et distinctif pour son inauguration, il serait donc encore possible, malgré les échecs des derniers mois, qu’elle le trouve bientôt via un partenariat longue durée avec une grande entreprise privée qui lui donnerait son nom, comme à Nice et Munich avec les Allianz Riviera et Arena.