De Tavernost : « Prendre des risques nécessite d’avoir le soutien de son actionnaire »
On lui parle notamment du cap des 70 ans : « L’équivalent de 60 ans il y a trente ans. C’est la chance ou non d’avoir une belle santé. J’ai cette chance, et mon mandat a été renouvelé jusqu’en mars 2018. J’aurais alors 68 ans. »
Bordeaux ? « Ce sont mes années de jeunesse, celles qui comptent, celles durant lesquelles on se fait de vrais amis. Bordeaux est en train de devenir le Barcelone de l’Atlantique. J’ai eu du mal à en partir, mais j’ai trouvé le moyen d’y revenir par le football (M6 est actionnaire des Girondins). Au moins, le grand stade laissera-t-il plus de traces que « Loft Story ». »
Les risques? « C’est consubstantiel à l’entreprise. Le lancement de M6 était un risque. Si on ne prend pas de risques, on n’avance pas. Mais ça nécessite d’avoir le soutien de son actionnaire. Pendant quatre ans, la chaîne a perdu 150 000 euros par jour ! »