De très cher joueurs… En salaires !
Seulement voilà… Si certains éléments « indésirables » sportivement (Bellion, Chalmé voire Planus, Ben Khalfallah et Jussiê) ne partent pas fautes d’offres et/ou de volonté de leur part, le renouveau du groupe pro girondin sera compromis. Car même si Bordeaux ne gagnerait pas forcément grand chose en se séparant de 2 ou 3 de ces joueurs, qui n’ont plus qu’un an de contrat (sauf Planus et Jussiê qui en ont encore 2), le niveau de leur salaire est encore celui de potentiels champions de France, notamment pour ceux qui ont prolongé leur contrat sous Laurent Blanc en 2010.
Ainsi, sans les économies de quelques salaires supérieurs à 100 000 euros par mois, et dans le souci d’assainir les finances d’un club toujours en déficit mais qui tend vers l’équilibre et veut y rester, c’est plus du côté des cadres comme Plasil, Sané ou Obraniak qu’il faudra vendre. Mais pour eux, comme pour les autres, le problème est le même : il n’y a pas d’offre. De plus, la perte d’un joueur important serait plus dommageable que celle d’un remplaçant.
Le chantier est ouvert et le mercato n’est sans doute pas fini !