Jocelyn Gourvennec : « Les échecs font partie d’une carrière, le plus important c’est de se relever »
10 jours après être déjà revenu, pour L’Equipe, sur le contexte de son départ des Girondins et sur les erreurs que lui et le club avaient commises en 17-18, Jocelyn Gourvennec s’est encore exprimé, cette fois sur l’antenne d’RMC. L’ancien entraîneur de Guingamp et du FCGB, en quête d’un nouveau challenge intéressant, explique les choses ainsi.
« Ce sont les blessures d’une carrière. On en connaît quand on est joueur. C’est la même chose quand on est entraîneur. Les échecs font partie d’une carrière. Le plus important quand on vit un mauvais moment, c’est de se relever. (…) Ce que je changerai si je pouvais ? En fait, c’est une accumulation de petits détails qui se sont enchaînés. Ça fonctionnait plutôt bien dans le travail, et lors des séances d’entraînement, au niveau du staff et de ce qu’on avait décidé avec la direction. Je pense qu’on a un petit peu trop modifié l’effectif après la première année, qui avait été plutôt réussie avec une place de sixième en Ligue 1 avec 59 points, à trois points de la cinquième place de l’OM. On a un peu perdu l’équilibre de ce fait, en voulant trop changer, trop vite. »