Maxime Poundjé : « Dans le football, tant qu’il y a de l’espoir, il faut toujours y croire »
Répondant aux questions des journalistes, en conférence de presse, il y a quelques jours, le latéral gauche des Girondins de Bordeaux, Maxime Poundjé, parle de l’avant-match Bordeaux – Zénith Saint-Pétersbourg, pour la 4ème journée du groupe C de l’Europa League. Sachant bien que les Marine et Blanc sont presque éliminés (0 point) et doivent battre le leader de la poule (7 unités) pour rester en vie par rapport à la qualification en 1/16ème de finale, le numéro 29 du FCGB veut encore y croire. Même si, selon lui, l’essentiel est… d’apprendre. Et il explique pourquoi :
« On va devoir prendre le plus de points possible en L1, déjà. Et après, la Coupe d’Europe, c’est quelque chose d’exceptionnel. Il faut le savoir et tout jouer à fond, chaque match. Là, c’est mal embarqué, c’est vrai, mais mathématiquement il y a encore un tout petit espoir. L’année dernière, c’était pareil : on était 13-14ème et j’avais dit qu’on pouvait finir en haut de tableau. On disait que c’était impossible, mais je pense que notre fin de saison a donné raison à mes paroles. Dans le foot, tant qu’il y a de l’espoir, il faut toujours y croire, se battre, s’accrocher, garder de l’enthousiasme même si c’est compromis. Et surtout en Coupe d’Europe, car l’Europe c’est vraiment exceptionnel.
Nos buts pris en fin de match contre Copenhague et Saint-Pétersbourg ? C’est le foot, il faut être concentré pendant 95 minutes, et c’est sur ça qu’on doit franchir un cap. Les erreurs nous font apprendre, mais on doit apprendre vite, sinon ça ne pardonne pas, et devenir meilleur. C’est ça le plus important, pour tous, surtout les jeunes. Car on a un groupe jeune, même s’il y a aussi de l’expérience. C’est toujours bénéfique d’apprendre, et de jouer, de ne sutout jamais galvauder un match. »