Tony Vairelles : « Je devais venir à Bordeaux avant que Pauleta n’arrive »
En ce jour d’anniversaire du Portugais (46 ans), retour sur l’anecdote de Tony Vairelles, révélée sur les ondes d’ARL, ce vendredi, dans l’émission ‘Top Girondins‘.
L’ex attaquant des Girondins de Bordeaux pendant quelques mois, explique qu’il aurait pu et même dû venir au FCGB quelques mois avant et pour un transfert plutôt qu’un prêt. Mais si l’ancien de Nancy, Lens et Lyon, qui a aussi connu quelques sélections en Bleu, était devenu Bordelais à l’été 2000 probablement que Pedro Pauleta ne serait pas venu à Bordeaux, dans les dernières minutes de ce jour du 31 août.
« Bordeaux, je devais y venir en début de saison, avant que Pauleta n’arrive. C’était en pourparlers, mais comme je ne pouvais plus faire la Coupe d’Europe avec Bordeaux, car j’avais joué les tours préliminaires avec Lyon avant, la décision a donc été celle de rester à l’OL. Mais comme ça ne se passait pas très bien avec l’entraîneur, j’ai fait le saut à Bordeaux au mois de janvier suivant. En prêt. Alors qu’au départ je devais venir en début de saison pour un contrat de 4 ou 5 ans, et être acheté par les Girondins.
Avec Bordeaux, ça s’est donc fait sur le tard, et j’y ai peu joué : 15 matches en 4 mois, sur une courte période. Mais j’ai beaucoup aimé ce club, la ville, l’ambiance, les supporters. Je me suis bien senti. J’aurais aimé rester, mais ça n’a pas pu se faire, pour diverses raisons. Je regrette de ne pas avoir pu plus prouver, sur plus de temps, avec une vraie préparation physique. En arrivant en méforme, en cours de saison, c’était dur. Et 15 matches, c’est peu. J’aurais voulu y faire au moins une ou deux saison(s)… Mais c’est comme ça. En tout cas, j’ai gardé de supers souvenirs de ce club, dont je suis resté très proche (Tony Vairelles a notamment été consultant sur Girondins TV et a participé au match caritatif des anciens bordelais, joué en 2018), car j’y ai passé d’agréables moments. J’avais aussi gardé une maison, sur Eysines, à côté du Haillan, et j’y vis depuis 2013. Tout va bien en Gironde. »