Daniel Riolo à la dérive face à Gérard Lopez
Présent dans l’After Foot (RMC) ce mardi 12 juillet face à Gérard Lopez, Daniel Riolo a sorti la sulfateuse face au propriétaire des Girondins. Et pas que.
Ayant la possibilité de questionner le président du FCGB sur plusieurs sujets importants, le journaliste a semblé confondre cette occasion avec celle d’un règlement de comptes où chacune de ses informations récoltées en privé n’était pas utilisée de manière constructive mais éphémère avec pour but d’attaquer Gérard Lopez.
Florilège :
« Pourquoi tous ce qui ont bossé dans le foot français ont des mots durs envers vous, disent que vous êtes un escroc, le genre de personnes que l’on ne veut plus voir dans le monde du foot ? Où par exemple ? À Boavista où vous êtes en train de ruiner le club comme avec Mouscron. Vous payez tout le monde là-bas ? D’ailleurs, c’est aberrant d’avoir plusieurs clubs. »
« Votre conseiller occulte, c’est Florian Brunet ! »
« Brunet, il dirige Haillan. Il met la pression à tous les salariés en permanence ! »
« Pourquoi le leader des supporters a accès au Haillan ? Pourquoi il fait ce qu’il veut et parle à qui il veut ? Est-ce que c’est normal ? »
« Diabate33, c’est pareil, il fait partie de ceux qui sont dans la poche. »
« Admar Lopes, soit disant le grand expert dont les joueurs se foutent de sa gueule dans le vestiaire aujourd’hui. Vous avez nommé quelqu’un qui est nul, a fait des recrutements bidons et qui s’affiche en public en train de taper de la coke dans les boîtes de nuit à Bordeaux et qui est vu aux yeux de tous ! »
« Si les supporters nous ont écouté, ils doivent souhaiter que vous partiez. Ils ne vous veulent plus à la tête du club car ils ne pensaient pas que c’était possible de faire pire que GACP. »
« Une fois que vous aurez vendu les joueurs cités, vous mettrez qui dans les buts ? Pierre Hurmic ? »
Stoïque, Gérard Lopez ne s’est pas emporté et a semblé sortir gagnant de ce duel imposé : « Daniel, vous voyez, Le problème avec vous c’est que votre fond de commerce de balancer des trucs un peu… voilà. » ou encore « Ça n’a rien à voir. On va jouer au ping-pong longtemps comme ça. » lorsque les réponses déviaient des sujets.
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