D. Riolo : « Il ne pouvait pas y avoir d’issue positive car l’histoire de Lopez est comme ça »
Via RMC et l’After Foot (du 15/11), Daniel Riolo et Nicolas Paolorsi sont revenus sur la gronde récente des Ultramarines en tribunes envers la direction du FCGB de Gérard Lopez et d’Admar Lopes.
Les propos de Daniel Riolo :
Les Ultramarines, c’étaient les toutous de Lopez ! Ils l’ont porté au pouvoir. […] Bordeaux, qu’ils aient pu passer mains de King Street / Longuépée et qu’au moment de la chute, d’être repris par un sauveur qui au final est Gérard Lopez, c’est vraiment pas de bol. C’est le club poissard à mort… Les supporters ont voulu Lopez en écartant toutes les autres solutions. Ils ont été violents, ils ont été les chiens de garde de Gérard Lopez et aujourd’hui ils sont en train de se retourner parce qu’ils se rendent compte qu’il ne pouvait pas y avoir d’issue positive car l’histoire de Lopez est comme ça.
Les propos de Nicolas Paolorsi :
C’est la première fois que les Ultramarines se sont ligués contre leur dirigeant Gérard Lopez. On sait qu’ils ont protégé Gérard Lopez qu’ils ont considéré comme leur sauveur – et on peut le dire à juste titre car il n’y avait pas grand monde. Il y avait Didier Quillot c’est vrai mais Gérard Lopez a été choisi par la banque Rothschild. Cette même banque qui écarte un petit peu Didier Quillot du deal et va chercher Gérard Lopez car derrière ils n’ont pas grand monde. Mais ils n’ont pas fait que des mauvaises choses : les Girondins étaient endettés à hauteur de 50M€ au moment du rachat, aujourd’hui, on se dirige vers une fin de saison où le club ne serait quasiment plus endetté.
Retranscription faite par nos soins