Au(x) bon(s) souvenirs des frères Vujovic
Invités à donner le coup d’envoi symbolique de Bordeaux – Caen le wekeend dernier (1-1), dans le cadre de l’hommage des anciens du club au Parc Lescure que Bordeaux laissera à l’Union Bordeaux-Bègles en mai prochain, les frères Zlatko et Zoran Vujovic, respectivement attaquant et arrière latéral des Girondins dans les années 80, ont également accordé à GOLD, la radio officielle du FCGB, un court entretien dans lequel ils évoquent leurs souvenirs bordelais.
Zoran Vujovic : » Ce n’est pas moi qui suis venu avec lui, mais lui qui est venu avec moi. Je ne me rappelle que de bons souvenirs. On est resté 2 ans ensemble ici – 3 pour moi -, on a gagné le doublé Coupe – Championnat, on a été loin en Coupe d’Europe. (…) Chaque match à Lescure était important mais si je devais en citer un je citerai je dirais le match contre le Dynamo Leipzig (demi finale de Coupe des Coupes 1987, élimination aux tirs au but après un score de 1-1 à l’issue des deux matches). Nous n’avons pas eu de chance… Mais le public nous a laissé un très bon souvenir. «
Zlatko Vujovic : » C’était un public vraiment extraordinaire. Les supporters nous ont poussé pour gagner. A l’extérieur ou à domicile, ils étaient toujours là. Contre les grands rivaux comme Paris ou Marseille, ça faisait plaisir et on gagnait aussi un peu grâce à eux. «
Zoran Vujovic : » Ce n’est pas moi qui suis venu avec lui, mais lui qui est venu avec moi. Je ne me rappelle que de bons souvenirs. On est resté 2 ans ensemble ici – 3 pour moi -, on a gagné le doublé Coupe – Championnat, on a été loin en Coupe d’Europe. (…) Chaque match à Lescure était important mais si je devais en citer un je citerai je dirais le match contre le Dynamo Leipzig (demi finale de Coupe des Coupes 1987, élimination aux tirs au but après un score de 1-1 à l’issue des deux matches). Nous n’avons pas eu de chance… Mais le public nous a laissé un très bon souvenir. «
Zlatko Vujovic : » C’était un public vraiment extraordinaire. Les supporters nous ont poussé pour gagner. A l’extérieur ou à domicile, ils étaient toujours là. Contre les grands rivaux comme Paris ou Marseille, ça faisait plaisir et on gagnait aussi un peu grâce à eux. «
Les deux hommes nous apprennent aussi qu’ils sont restés dans le foot. Zoran comme entraîneur, avec notamment des passages en Arabie Saoudite et au Maroc qui lui donnent l’espoir de retrouver un nouveau poste « en France, en Asie, au Moyen Orient ou en Afrique », lui qui est « ouvert à toutes les propositions », et Zlatko comme manager (« mais ce n’était pas pour moi ») puis comme coach de jeunes dans les pays de l’ex Yougoslavie, où il a sans doute retransmis la méthode de formation d’Ante Mladinic chère à Pierrot Labat.