Les bons mots de Triaud
Morceaux choisis :
« Je suis très heureux d’aller au Stade de France avec les jeunes pour la finale de la Gambardella, c’est un pied de nez à ceux qui affirment qu’il n’y a pas de formation à Bordeaux ».
« Au delà de la légende de cette compétition, des 7000 clubs engagés, il s’agit d’embellir la vitrine du club. Les coupes commencent à vieillir. ».
« Les supporters s’ennuyait donc je suis allé leur dire que j’allais chercher des joueurs. Je vous rassure, je n’ai pas eu besoin de les calmer, il n’y a pas de hooligans à Bordeaux »
« On est théoriquement favoris de la finale car, globalement, notre groupe est meilleur, mais la qualité des joueurs ne représente que 25% de la victoire. Lors d’une finale, le mental joue un tel rôle… ».
« Aujourd’hui, le contrat n’est qu’à moitié rempli. Il n’y a aucune intérêt à aller en finale pour la perdre. Je préfère être éliminé en 32èmes. Si on gagne, on aura réalisé une bonne saison. Si on perd, ce sera une mauvaise saison. C’est blanc, ou noir, tout simplement ».
Rappelons que suite à la victoire (2-1) et la qualification de Bordeaux en finale de la Coupe de France, les supporters sont en effet restés pour chanter et demander à voir les joueurs pour fêter l’évènement. C’est d’abord Triaud qui est venu, remerciant les supporters et leur affirmant que le club allait tout faire pour gagner la Coupe dans 15 jours contre Evian.
Reparti sous les applaudissements, malgré quelques (traditionnels) encouragements à la démission et autres insultes, le président bordelais a finalement réussi à ramener quelques joueurs, dont Nicolas Maurice-Belay, Henri Saivet, Lamine Sané, Jaroslav Plasil, Maxime Poundjé ou encore Benoit Trémoulinas qui sont longuement restés pour applaudir le parcage, chanter avec les supporters et même lancer une ola.
Un bon souvenir pour tout le monde… En attendant l’apothéose en finale ?