Dugarry : « Je reprends de volée au milieu de trois Nantais et ça fait 3-3 »
« Je n’aurais pas aimé affronter Didier Sénac, avec qui j’ai joué à Bordeaux. A l’entrainement, il restait calme, hein, mais en match tu sentais vraiment chez lui une volonté de faire peur à l’adversaire, pas forcément avec des paroles, mais avec des gestes. Ceux qui parlent sur un terrain sont d’ailleurs rarement les plus méchants. »
« Richard Witschge, c’était vraiment un bon mec et j’ai vécu avec lui des trucs très forts, notamment une finale de coupe de l’UEFA. Pareil pour Stéphane Guivarc’h, qui ne joue jamais avec nous, avec France 98. On a des nouvelles via Henri Émile mais on aimerait le revoir. »
« Le plus fêtard, c’était moi. Non, je dirais Lilian Laslandes, qui aimait vraiment la fête, en bon médocain qui se respecte. Il y a aussi Vincent Candela et David Trezeguet. Après, le paradoxe, c’est que ces mecs-là, ils pouvaient être fêtards mais le lendemain matin, ils étaient toujours à bloc à l’entrainement. »
« Mon plus beau but, c’est peut-être celui que j’ai marqué à Nantes en 94/95. Il reste une minute à jouer, on vient de prendre un but et on est menés 3-2. Liza fait un long centre à la désespérée, je reprends de volée au milieu de trois Nantais et ça fait 3-3. »