Fichez : « A Bordeaux, Yoann a été très, très heureux, mais il était plus léger que maintenant »
Labat : « Sa dernière sortie sur blessure avec Lyon et le coup de tête de Zizou en 2006, c’est pareil ! C’est exactement la même chose pour moi. Il était très, très mal. Le gars n’est pas maître de ce qu’il fait au
moment où il le fait. Ce qui veut dire que précédemment il était
très mal. (…) Quand il est venu, on a fait uniquement de la conduite de balle, mais rien en force, uniquement des appuis avec la balle. En restant là-dessus, tu t’aperçois que le joueur prend confiance et perd sa sensibilité qu’il a quand il se concentre uniquement sur sa blessure sous le pied. Mais sinon, bien entendu qu’il était à plat moralement. Je n’en parle même pas… (…) Ce joueur, c’est comme avoir un diamant dans les mains. Même si le bijoutier qui l’a pris le polit mal, t’as jamais envie de le jeter, tu as envie de t’en occuper. »
Fichez : « Il est clair que quand on n’est pas très heureux, on perçoit plus péjorativement les douleurs. A Bordeaux, il a été très, très heureux, mais il était plus léger que maintenant, car il a pris plus de puissance athlétique à Lyon. Peut-être que ça a joué dans certaines de ses pathologies. »