Triaud : « Nous ne sommes pas dépendants d’un joueur »
« Vous savez, je n’ai pratiquement jamais eu de problèmes de relationnel ou bien d’ambiance entre les joueurs. Un des principes du travail de Jocelyn Gourvennec c’est de mettre en place une organisation stable, même si contre la meilleure équipe du championnat il a essayé quelque chose d’autre, pour que chaque joueur sache bien ce qu’il attend de lui. Il est bien aidé en cela par ses adjoints donc je crois que le travail qui est fait est de qualité. (…) Je ne suis pas surpris par un cas en particulier, car je connais l’effectif. Mais un joueur comme Maxime Poundjé, dont on savait qu’il avait un potentiel technique et, surtout, physique incroyable, a plus été mis en confiance, par exemple. Aussi, le petit Malcom, à seulement 19 ans et après quelques mois en France, confirme le bien qu’on pensait de lui. Valentin Vada est aussi à prendre en compte. Lewczuk, c’est solide, costaud. Diego Rolan fait beaucoup d’efforts sur le terrain, et on ne va pas le lui reprocher car sans efforts on n’arrive à rien. Je pourrais tous les passer en revue, mais voilà… Le groupe est homogène. On ne peut pas résumer le jeu de l’équipe à un joueur, pas même Malcom. Puis il y a Ounas, qu’on connait déjà, et Kamano, qu’on n’a pas encore trop vu mais qui a une grosse pointe de vitesse et un bon niveau athlétique, donc nous ne sommes pas dépendants d’un joueur. »