Gustavo Poyet joue le jeu et complète le prompteur d’RMC Sport
En plateau, hier soir, sur RMC Sport, l’ancien entraîneur des Girondins, Gustavo Poyet, a répondu à une interview sous forme de lecture d’un prompteur… mais avec des trous à compléter du tac au tac.
Les réponses de l’Uruguayen :
La conférence de presse qui a entraîné son licenciement : « Ce fut un moment de… ? De dire la vérité. » Et avec le recul, si c’était à refaire ? « Je ne sais pas ».
Ce qu’il voudrait dire à Gaëtan Laborde, parti cet été à Montpellier : « Bien joué, bonne décision« .
Ce qu’il dirait à Nicolas de Tavernost, s’il l’avait en face de lui : « Que je dis la vérité, tout le temps« .
Ce qu’il dirait aux nouveaux propriétaires américains s’ils étaient devant lui : « Pourquoi vous n’êtes pas arrivés avant ?! (rire) ».
Ce qu’il répond à ceux qui le disent ingérable : « Ah… (sourire) 50-50 ! Un petit peu, quand même. Mais je dirais juste aux présidents des clubs qui voudraient m’engager qu’il faut me connaître« .
Ce qu’il aurait conseillé à Thierry Henry : « Le problème, c’est que j’ai parlé avec lui, justement… Aïe ! (sourire) Je lui ai dit de faire attention ».
Bordeaux 11ème de L1 et déjà presque éliminé en Coupe d’Europe. Avec lui ce serait : « Un peu mieux, j’espère. Quand même… ».
Ce qu’il a dû faire pour tourner la page après son renvoi : « C’était plus facile que lors de mes autres départs, car cette fois j’ai pu parler et dire mon côté de l’histoire ».
Ses envies pour l’avenir : « Je ne sais pas. La première chose, c’était l’Angleterre, mais après 4-5 ans j’ai voulu voir autre chose. Maintenant, pourquoi pas rester en France ». Son rêve, désormais ? « Entraîner le plus haut possible et peut-être l’équipe nationale de mon pays ».