Les anecdotes de carrière de Frédéric Roux
Invité, hier soir, de ‘Girondins Analyse‘, l’émission radio d’R.I.G, partenaire de G33, l’ancien gardien remplaçant des Marine et Blanc, Frédéric Roux, a réexpliqué sa situation actuelle et a donné quelques anecdotes de carrière.
Revenu vivre et travailler en Gironde, où « (il) recherche un club en Gironde ou en Nouvelle-Aquitaine« , et « très heureux de retrouver (sa) ville de cœur », après 10 ans passés à Dubaï comme formateur des gardiens, l’ancien portier de Châteauroux a confié avoir eu quelques petits regrets dans sa vie de joueur, dont celui de ne pas avoir pu signer dans certains clubs pour jouer davantage. S’il précise n’avoir refusé aucune offre, Frédéric Roux (46 ans) explique que quand il était à Bordeaux il aurait pu aller à Birmingham (Angleterre), rejoindre un certain Christophe Dugarry.
Aussi, alors qu’il était en fin de carrière, lui qui a fini à l’AC Ajaccio (2006-07) et à Lyon (2007-08) – un club où il garde un bon souvenir du président Jean-Michel Aulas, très protecteur envers ses joueurs et son club mais jouant un rôle vis à vis de l’extérieur pour défendre ses intérêts -, Roux révèle que Nîmes aurait pu être un bon challenge.
Enfin, celui qui a terminé sa carrière sans agent mais estime qu’aujourd’hui avoir un agent est plus ou moins obligatoire, surtout pour un jeune joueur, explique qu’il aurait pu signer au FC Metz, rival local du club de sa ville d’origine et de formation, Nancy. Tout était même ok, mais au dernier moment, pour des raisons de niveau « diplomatiques » et afin qu’un autre gardien signe à sa place chez les Grenats, un faux problème au genou lui a été diagnostiqué et il a été recalé à la visite médicale. Mais cela ne l’a pas empêché de continuer en rejoignant l’AC Ajaccio et l’Olympique Lyonnais. Les aléas du football pro… Un monde où le respect de la parole ne domine pas toujours.
Avec le FCGB, entre 2000 et 2006, Frédéric Roux, doublure d’Ulrich Ramé, a joué 37 rencontres, remportant la Coupe de la Ligue 2002.