L. Laslandes se souvient des revers européens contre Manchester et à Parme

Demain, sur les coups de 18h, dans un Live à voir sur sa page Facebook, la voix des Girondins à domicile, Éric Dagrant, aura, notamment, Monsieur Alain Giresse – rien que ça ! – comme invité. Mais, samedi dernier, il avait aussi un grand de l’histoire de Bordeaux : Lilian Laslandes. Et au fil de leur discussion, coupée par un moment sympa avec l’ami Nino Saveljic, l’ex buteur du FCGB a pu évoquer ses mauvais moments européens en Marine et Blanc…

« Contre Manchester United (en Ligue des Champions 1999-2000, défaite 1-2 à Lescure, lors de la seconde phase de poules, alors que Michel Pavon avait ouvert le score à la 9ème minnute de jeu ; NDLR), je me fais sortir (23ème minute de jeu ; NDLR) pour un tacle glissé sur Beckham, où je me couche juste pour toucher le ballon mais lui il s’entrave dans moi. Enfin, ce n’est pas grave… Et puis il y a Parme, oui, mais là je sais de quoi tu vas me parler ! Le but de Michel Pavon contre Manchester ? Oui, je m’en rappelle (rire).

(…) La défaite à Parme (0-6, en 1/4 de finale retour de la Coupe de l’UEFA 99) ? Sur cette période, on a une belle équipe, mais Bordeaux en a aussi connu d’autres. Je me souviens qu’on fait un match aller de fou, mais sans être récompensés (2-1 ; NDLR), car normalement on doit gagner 3 ou 4 à 1. On mène 2 à 0 à la 89ème minute, et Crespo marque sur une déviation… Garder ce 2-0, déjà, ça n’aurait pas été la même, bien qu’on en ait pris 6 là-bas. Pourtant, à la maison, on fait un super premier match, mais on se prend ce but de la 89ème minute… On avait dominé le match, en se créant des occasions tout au long de la partie, on doit même gagner plus que 2-1, mais on part à Parme confiants, car on a quand même gagné ; sauf que tout de suite on prend un but et un autre. Il y a 2-0 à la mi-temps, puis il y a un but gag où Nino croit que l’arbitre a sifflé alors que ça vient des tribunes. Donc il prend le ballon à la main, mais ça fait penalty… Et derrière, à 3-0, ce n’était plus possible de revenir, donc ça a été la débandade. C’était terminé… On n’a pas lâché, mais c’était fini. Et en face, il y a eu une équipe de Parme qui réussissait tout. Alors il vaut mieux prendre une correction une fois que plusieurs… »

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