Julien Faubert : « Jouer sous la pression, je pense savoir faire »
Ses voyages (pour jouer au foot), sa seule sélection en Bleu chez les A, puis son affection pour les Girondins… L’ancien latéral doit bordelais Julien Faubert a été bavard, pour ‘Confinement Inside‘ (N°34). Il a également répondu à une question sur les stades l’ayant le plus marqué. Malheureusement, il ne cite Bordeaux, mais on voit qu’il a été sur quelques pelouses ‘chaudes’ :
« Un stade qui m’a marqué ? C’est compliqué ça ! Bernabéu (Madrid), déjà, c’est une certitude. J’ai pu y vivre un Clásico et ça… c’est quelque chose ! Même à l’extérieur du stade, dans la ville, sur le trajet hôtel – stade, on voit les rues pleines de chez pleines. Et ça, c’est vraiment extraordinaire à vivre. Ensuite, j’ai vécu pas mal d’ambiances dans des stades adverses. St James’s Park, à Newcastle, c’est énorme, comme Anfield, à Liverpool, puis j’ai aussi joué au Celtic Park, à Glagow. Vraiment, le ‘You’ll Never Walk Alone’ de Celtic Park, il est extraordinaire ! Sinon, en Turquie, j’ai joué dans les stades de Besiktas, Galatasaray et Fenerbahçe. En fait, on fait du football – et ma génération encore plus – pour jouer dans ces stades-là, vivre ces émotions ; au-delà de l’aspect financier, la célébrité. Plus jeune, j’ai aussi connu l’ambiance électrique du Parc des Princes de l’époque, avec des vrais supporters – décriés ou pas décriés, peu importe -, puis aussi le Stade Vélodrome de Marseille. Même si je ne suis pas un fan de l’OM, ça reste un club et des supporters extraordinaires. Je garde donc de supers souvenirs de toutes ces expériences, et jouer sous la pression je pense savoir faire, même si ça reste délicat à gérer. »
Retranscription faite par nos soins