Vanessa Gilles retrace les moments forts de la saison 19-20 des FCGB Women
Venant de prolonger, jusqu’en juin 2022, avec les Girondin(e)s de Bordeaux, la défenseure Vanessa Gilles retrace pour les médias officiels de la D1 Arkema les grandes dates de la saison 2019-20 très réussie des FCGB Women, en plein essor depuis de longs mois déjà :
« Mon meilleur match ? Quand on a fait 0-0 contre Lyon. Tout le monde était impliqué, du début à la fin, et ce match nous a permis de nous booster pour le reste de notre saison. Mon meilleur souvenir ? En Coupe de France, contre Montpellier, quand on revient à 3-3 et qu’on gagne aux pénos. Merci Ouleye (Sarr) ! Ce match était plein d’intensité, et la célébration était pas mal. Mon pire souvenir ? Notre premier match, contre Fleury, quand l’attaquante avait fait un petit geste technique et que je suis tombée sur les fesses, assise, pour la regarder marquer… Je ne peux pas l’oublier, car ça a percé sur les réseaux et qu’on le voit souvent en vidéo avec l’équipe. Mon adversaire la plus coriace ? Diani, du PSG, je trouve qu’elle est très forte, rapide, puissante, technique, et la voir s’aligner dans ton couloir n’est pas très plaisant.
Mon stade préféré ? Le ‘Matmut Atlantique’, ici, à Bordeaux. Il y a toujours une très bonne ambiance. Et le stade lui-même est magnifique. Mon déplacement préféré ? Soyaux, car c’est un derby, à côté, à une heure d’ici, donc c’est toujours intense et ce déplacement ne prend qu’une journée ; ce qui fait toujours plaisir. Mes rituels d’avant-match ? M’étirer, taquiner Charlotte (Bilbault) qui fait ses abdos à côtés. J’aime bien qu’on me fasse une petite tresse, aussi, soit par la kiné ou notre team manager. Ma chanson d’avant-match ? J’écoute ce que me fait écouter le DJ de l’équipe et quand je me propose tout le monde dit non (rire), donc ce n’est vraiment pas mon choix. Pas de chansons spécifique.
Mon geste préféré ? Le tacle. Simple, efficace, et c’est un des seuls gestes techniques que je maîtrise (sourire). Mon plus beau but ? Je n’en ai pas mis, donc je vais dire celui de Delphine Chatelin contre Dijon, car on en avait besoin et qu’il était joli à voir. »
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