Sénac : « Francis c’est un ami »
Adjoint d’Eric Sikora, lui-même ex-adjoint de Francis Gillot quand ce dernier entraînait Lens, l’ex-défenseur de Bordeaux et du club artésien Didier Sénac revient sur les rapports qui le lient à Francis Gillot :
« J’ai joué avec
Francis Gillot à Lens. J’ai par la suite été son adjoint au RCL.
Maintenant, il est à Bordeaux et nous nous retrouvons en quart de finale
de Coupe de France. Depuis le tirage, on s’appelle, on se chambre, on
s’envoie des messages (sourire). Francis, c’est un ami. Il aura envie de
gagner et nous aurons à cœur de le battre aussi. Je pense que nous
allons nous amuser, même un petit peu avant le match. Ce sera un grand
plaisir de le revoir. Il la joue un peu modeste en disant qu’ils ne sont
pas bien, qu’il a perdu tous ses attaquants, qu’il n’a pas pu recruter.
Mais, je lui ai dit, nous sommes dans le même schéma. Nous avons laissé
partir du monde au mercato, nous n’avons pris personne, nous sommes
dans le ventre mou. Nous sommes dans la même situation sauf que lui est
en Ligue 1. Je le chambre en lui disant qu’ils sont plus mâtures, plus
expérimentés, qu’ils ont joué la Coupe d’Europe. Nos joueurs vont
découvrir un stade plein. Chacun essaye un peu de se moquer de l’autre,
mais c’est toujours bon enfant (sourire).»
Francis Gillot à Lens. J’ai par la suite été son adjoint au RCL.
Maintenant, il est à Bordeaux et nous nous retrouvons en quart de finale
de Coupe de France. Depuis le tirage, on s’appelle, on se chambre, on
s’envoie des messages (sourire). Francis, c’est un ami. Il aura envie de
gagner et nous aurons à cœur de le battre aussi. Je pense que nous
allons nous amuser, même un petit peu avant le match. Ce sera un grand
plaisir de le revoir. Il la joue un peu modeste en disant qu’ils ne sont
pas bien, qu’il a perdu tous ses attaquants, qu’il n’a pas pu recruter.
Mais, je lui ai dit, nous sommes dans le même schéma. Nous avons laissé
partir du monde au mercato, nous n’avons pris personne, nous sommes
dans le ventre mou. Nous sommes dans la même situation sauf que lui est
en Ligue 1. Je le chambre en lui disant qu’ils sont plus mâtures, plus
expérimentés, qu’ils ont joué la Coupe d’Europe. Nos joueurs vont
découvrir un stade plein. Chacun essaye un peu de se moquer de l’autre,
mais c’est toujours bon enfant (sourire).»