F. Brunet (sur Éric Bedouet) : « Le club n’est pas totalement stupide, tant mieux »
Les finances du FCGB, la rumeur Olivier Létang, l’identité du club « tué(e) » par les dirigeants actuels et le président Frédéric Longuépée en tête… Florian Brunet, porte-parole des Ultramarines Bordeaux 87, a parlé de bien des choses, ce soir, chez nos partenaires et amis de l’émission radio ‘Girondins Analyse‘.
Il a notamment exprimé un mea culpa sur le cas Éric Bedouet :
« Bedouet, il faut en parler, car ça prouve qu’on peut avoir raison sur l’ensemble mais aussi se planter de temps en temps. On a appris, mardi soir, qu’Éric Bedouet n’était pas prolongé par les Girondins, car son contrat se terminait le 30 juin. Donc, je me suis renseigné un peu et on m’a dit que le club ne voulait pas faire de mot pour lui. Bedouet, à la longue, on le connait très bien, on sait comment il pense, et on a toujours eu de très bonnes relations avec lui. Dans So Foot, il a parlé aujourd’hui, et il a bien parlé d’ailleurs, alors je ne veux pas lui causer du tort… Il a dit qu’il réfléchissait à des propositions. Le club n’est pas totalement stupide, tant mieux, et il pense qu’il vaut mieux avoir Bedouet à l’intérieur du club qu’en dehors… Car vu ce qu’il dit… C’est un peu ce qu’on dit (sourire).
Mais mardi, quand on m’a dit pas qu’il n’y avait pas d’hommage du club pour Bedouet, alors que le club a communiqué pour en faire un à Puma, on s’est dit que… On connait la perversité des gens à la tête du club, qui sont des gens malsains, des pourritures capables de tout. Alors on pensait qu’ils l’avaient fait exprès de rendre hommage à Puma mais pas à Bedouet. Finalement, on s’est un peu planté, puisque des négociations sont en cours pour qu’il reste dans un autre rôle, alors mea culpa. Enfin, comme je le dis souvent, et notamment aux journalistes, nous on est des lanceurs d’alertes là pour prévenir des dangers, car c’est notre rôle ; on n’est pas des journalistes justement. On est bénévoles, et même si c’est toujours mieux d’avoir des preuves comme on en a souvent, on n’a pas forcément besoin de preuves pour alerter d’une menace, par rapport à nos ressentis. Enfin, mardi on s’est trompés sur Bedouet et le club… Mais tant mieux si les dirigeants ne font pas que des choses stupides, car 99% du temps c’est le cas. Le 1%, c’est Bedouet, et tant mieux. Après, malgré tout, dans son entretien, Bedouet a pu dire ce qu’il avait à dire sur les supporters : qu’on était des gens bien, qu’on était importants, que le club ne pouvait pas faire sans nous… Et ça, déjà, ce n’est pas le discours que son patron (Frédéric Longuépée ; NDLR)… »