C. Lepetit : « Beaucoup de clubs attendent le marché international pour exporter »
Temporairement fermé, après avoir ouvert plus tôt et s’être, dans un premier temps, limité à un marché franco-français, le mercato d’été 2020 de Ligue 1 est pour l’instant très calme dans l’ensemble.
Quelques mouvements ont quand même été faits, comme les achats par Angers et Nîmes de Paul Bernardoni et Yassine Benrahou en provenance des Girondins de Bordeaux. Deux transferts qui ont d’ailleurs permis au FCGB d’empocher au moins 8.5 M€ (dont 7 pour le gardien de but) et d’améliorer un peu sa situation financière grave, avant de passer devant la Direction Naitonale du Contrôle de Gestion, le 16 juillet.
Dans L’Équipe, parlant lui du mercato en général, Christophe Lepetit ne s’affole pas pour expliquer les choses. Les mots du responsable des études économiques du Centre de Droits et d’Économie du Sport de Limoges :
« Personne n’attendait de miracle. Les clubs restent dans le brouillard post Covid-19 sur leurs revenus de la saison à venir et beaucoup attendent le marché international (vraisemblablement à partir du 15 août en France) pour exporter leurs talents avant de se risquer à acheter à leur tour. »
Pour les Marine et Blanc, la situation est même probablement encore pire qu’une simple attente du marché international, avec déjà l’enjeu de passer la DNCG pour… survivre.