Bellion : « Je n’étais pas bien, je ne servais pas à grand chose et j’étais un poids financier pour le club »
» J’ai toujours eu beaucoup de respect pour les Girondins et pour l’institution. Avec ce qu’il se passait dans ma vie [le décès de son beau-père, en 2014], je n’étais pas bien, je ne servais pas à grand chose et j’étais même un poids financier pour le club. Tu sais que tu ne vas pas aller sur le terrain mais tu essaies de te faire violence. Je n’ai pas voulu finir en dilettante.
(…) (L’année avec Jean Tigana) C’est tellement loin de moi, maintenant que je suis à Paris. Je n’ai plus envie d’alimenter le truc. Chacun sa conscience. (…) Laurent Blanc est quelqu’un qui n’a rien à prouver en tant que joueur. Ce n’est pas quelqu’un d’aigri qui nous a saoulés avec son passé. Il a toujours été très humble par rapport à ça. C’est quelqu’un de très humain. Que l’on jouait ou non, on a vraiment passé d’excellentes années. Le PSG est une institution différente. Ce que je retiens, c’est qu’il est venu me serrer la main quand on a joué contre Paris la saison dernière. Il est venu dans mon resto, on s’est revu avec grand plaisir. «