Trésor : « Si j’avais l’explication… »
Fraichement honoré pour ses 65 ans, Marius Trésor donne son sentiment sur la mauvaise passe des Girondins et la défaite d’hier à Paris (1-2) en Coupe de France. L’ancien défenseur international, aujourd’hui adjoint de la CFA et consultant pour les médias du club reconnait ne pas avoir d’explications par rapport aux deux visages que montrent les Marine et Blanc sur un match depuis trop longtemps :
« Depuis un certain temps déjà, l’équipe girondine est bien incapable d’être performante sur les deux mi-temps. Le match au Parc des Princes en est une nouvelle illustration. La première mi-temps des Girondins est terne, on donne trop le bâton pour se faire battre à Paris. Les deux buts parisiens ont pour origine une perte de balle de notre part. En seconde période, l’équipe était toute transformée, le discours de Willy Sagnol a porté ses fruits. On a gagné en justesse technique. Je déplore simplement que Diego Rolan n’ai pas pu tenter sa chance, sur l’occasion qu’il se procure juste après la réduction de l’écart. (…) Si j’avais l’explication à ces deux visages, il y a très longtemps que je l’aurai donnée à Willy Sagnol, voir même à Francis Gillot (rires). Ce phénomène n’est pas récent à Bordeaux. L’équipe doit gagner en régularité sur un même match.
« Depuis un certain temps déjà, l’équipe girondine est bien incapable d’être performante sur les deux mi-temps. Le match au Parc des Princes en est une nouvelle illustration. La première mi-temps des Girondins est terne, on donne trop le bâton pour se faire battre à Paris. Les deux buts parisiens ont pour origine une perte de balle de notre part. En seconde période, l’équipe était toute transformée, le discours de Willy Sagnol a porté ses fruits. On a gagné en justesse technique. Je déplore simplement que Diego Rolan n’ai pas pu tenter sa chance, sur l’occasion qu’il se procure juste après la réduction de l’écart. (…) Si j’avais l’explication à ces deux visages, il y a très longtemps que je l’aurai donnée à Willy Sagnol, voir même à Francis Gillot (rires). Ce phénomène n’est pas récent à Bordeaux. L’équipe doit gagner en régularité sur un même match.
(…) Nous sommes déjà à huit points de la quatrième place. Il ne nous reste que le championnat pour bien figurer cette année, il faut tout faire pour réussir cette fin de saison. Je rêve que l’on ouvre une nouvelle page de l’histoire du club, par un match décisif pour l’Europe, au nouveau stade. »