Giresse : « Pas de bonnes conditions »
« Malheureusement, au niveau des infrastructures, je ne travaille pas dans de bonnes conditions. C’est le décalage qui existe ici et que je découvre. C’est à dire, qu’il y a un très gros potentiel de joueurs, c’est incontestable. Il y a des joueurs qui jouent dans de bons clubs, des bons jeunes qui sortent de ce pays, mais là ou le bât blesse, c’est que les infrastructures, c’est-à-dire la base sur laquelle on peut s’appuyer pour organiser et bonifier ce football, sont défaillantes. Il y’a peu d’infrastructures et une organisation limitée. C’est le côté un petit peu étonnant que je découvre ici et que je n’avais pas vu dans les autres pays africains.
Moi, j’ai mes limites, il y’a des choses qui sont du ressort de l’État et des moyens qu’il mettrait pour le football local. Moi, je suis sur l’équipe nationale, la vitrine, mais elle pâtit du manque d’infrastructures. Il faudrait pouvoir mettre les joueurs dans des conditions professionnelles qu’ils connaissent en club. »
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