Triaud conforte Sagnol
Toujours sur l’antenne de GOLD, le président Triaud a indiqué, après une toute première saison plutôt encourageante, tout le bien qu’il pensait de Willy Sagnol, dont il ne fait vraiment guère de doutes qu’il sera toujours l’entraîneur principal du FC Girondins de Bordeaux en 2015/16.
« C’est une réussite. Quand on prend quelqu’un, c’est qu’on croit en lui et s’il atteint les objectifs ça ne fait que conforter le préjuge que l’on avait. Avec son staff et son groupe ça se passe très bien, il est ouvert, il cherche et accepte le dialogue avec les dirigeants. Par le passé, il y en a qui pensaient que les dirigeants ne connaissaient rien au foot, pouvaient faire rire… Mais c’est aussi ma faute car j’ai entretenu ça en disant que j’avais joué 15 ans au rugby et jamais au football. Mais ça fait 20 ans que je suis dans le football, donc sans y avoir joué mon expérience est devenue bien supérieure à celle du rugby. A ce jour, j’ai dû voir 10 fois plus de matches de rugby que de football, donc à force on commence à comprendre… En tout cas, avec Willy, le dialogue est toujours intéressant.
« C’est une réussite. Quand on prend quelqu’un, c’est qu’on croit en lui et s’il atteint les objectifs ça ne fait que conforter le préjuge que l’on avait. Avec son staff et son groupe ça se passe très bien, il est ouvert, il cherche et accepte le dialogue avec les dirigeants. Par le passé, il y en a qui pensaient que les dirigeants ne connaissaient rien au foot, pouvaient faire rire… Mais c’est aussi ma faute car j’ai entretenu ça en disant que j’avais joué 15 ans au rugby et jamais au football. Mais ça fait 20 ans que je suis dans le football, donc sans y avoir joué mon expérience est devenue bien supérieure à celle du rugby. A ce jour, j’ai dû voir 10 fois plus de matches de rugby que de football, donc à force on commence à comprendre… En tout cas, avec Willy, le dialogue est toujours intéressant.
(…) Il a sûrement des défauts, même moi j’en ai (rires). Mais ses défauts ne sont pas mis en évidence aujourd’hui et ne prouvent pas qu’il aurait pu mieux faire. Je demanderais peut-être à son épouse, mais moi je n’ai encore rien remarqué qui me dérange. Les adversaires sont peut-être dérangés car il est casse-pieds sur le banc de touche, mais pas moi. J’avais fait le pari qu’il serait exclu dans la saison par les arbitres, mais il est malin : il crie, il râle, il fait passer son message puis il sourit en prenant la main de l’arbitre, qui est désarmé (rires). »