Gérard Lopez : « Pas une seule des critiques n’est étayée par des preuves »

Questionné sur l’encadrement de la masse salariale du FCGB imposé par la DNCG, Gérard Lopez a jugé d’un bon oeil cette décision par rapport à la situation économique actuelle dictée notamment par la Covid-19 :

« Contrairement à ce que les gens pensent, j’ai une très bonne relation avec la DNCG. Aujourd’hui, dire qu’un encadrement de la masse salariale pose problème : non. Il faut le gérer mais quelque part c’est vers là aussi qu’il faut aller. On ne peut pas dire que le club est dans une situation périlleuse et continuer à avoir des choses qui ne tiennent pas la route. Que cet encadrement soit de la DNCG ou qu’on l’ait mis en place de notre côté, c’est à peu près la même chose. »

« Finalement, la DNCG n’a fait qu’encadrer notre budget. On leur a proposé un budget : ils l’ont accepté. Ce n’est pas une coupure : c’est tenir un budget qui est le notre. À partir de là, il faudra gérer. C’est dans le bon sens par rapport à la période. On est dans une période particulière : on parle de 4eme vague notamment… C’est là qu’on devra être capables et là, la pression sera sur Admar, d’être performants tout en gérant les coûts. »

Placé sous le feu des critiques dans la presse par rapport à sa sortie du LOSC au moment de son projet de rachat des Girondins, le nouveau propriétaire a également répondu calmement à ces faits :

« La raison pour laquelle cela ne m’énerve pas, c’est parce que les critiques sont fausses. Quand il y a un truc vrai, ça ne m’énerve pas, au moins ça me permet de peut-être ajusté. Toutes les critiques, dont on parle, je les connais. Sauf que pas une seule n’est étayée par des preuves ou des chiffres. Alors que quand moi je réponds, je donne toujours des chiffres clairs. La DNCG a récemment publié l’état des budgets des clubs en France. On parle à cet instant, du troisième club le plus riche en France. C’est peut-être aussi parce qu’ils savent qu’ils auront une période un peu plus difficile que c’est peut-être de bon genre d’essayer de critiquer quelque chose. Pour le coup, comme c’est faux, ce serait me rabaisser à devoir parler de ça. »

Retranscriptions faites par nos soins