L’amitié de Paul Bernardoni avec Gautier Larsonneur, son concurrent en EdF

Nés tous les deux en 1997 et concurrents en Équipe de France Espoirs, où c’est le gardien de Nîmes qui est titulaire, Paul Bernardoni (prêté dans le Gard cette saison mais sous contrat principal, jusqu’en 2021, aux Girondins) et Gautier Larsonneur (Brest, en lice pour monter de Ligue 2 en Ligue 1) sont surtout amis. Dans une petite interview croisée, pour BeIN Sports, les deux portiers s’amusent des qualités, défauts et traits de caractère de l’autre, avec humour et autodérision.

On vous isole ici les réponses et aveux de Paulo :

« Le meilleur de nous deux en interview ? Oh, je pense que tous les deux on n’est pas dégueulasses.

Le plus fou ? C’est lui ! Mais pas une folie chiante. Lui, il est drôle.

Le plus mauvais joueur ? Ah ouais, là c’est moi. J’aime pas perdre.

Le plus mauvais en orthographe ? Moi. Lui ne s’est jamais vu écrire, mais moi si… Donc c’est moi.

Le plus séducteur ? Gautier ! Bah ouais, c’est vrai, toi t’es beau gosse et moi j’ai pas de cheveux, j’ai rien. Et puis moi, maintenant, tu sais – attention, phrase de vieux ! -, on est en couple donc c’est terminé.

Le surnom le plus pourri ? Moi j’ai Berni, c’est le nom de mon chien. J’ai son nom sur mes gants.

Les goûts musicaux les plus pourris ? Ah… Moi j’aime bien tout ce qui est variété française, je suis pas trop rap et tout. Mais on est un peu sur la même longueur d’ondes. On chante du Céline Dion, ou ‘Les lacs du Connemara’ de Michel Sardou. Voilà.

Ce qu’il manque à Gautier pour passer le cap et venir en Ligue 1 ? Une montée ! Mais si Bret en est là aujourd’hui, c’est car il leur a rapporté énormément de points.

Le meilleur de nous sur sa ligne (Larsonneur répond : ‘Paulo’ du tac au tac) ? Ah ouais, tu penses ?

Le meilleur sur les pénaltys ? Gautier, c’est sûr ! Moi j’en arrête aucun

Le plus grand défaut de l’autre ? Je pense que Gautier peut s’énerver assez vite, être nerveux. Et moi, c’est vrai que ma générosité peut me porter préjudice, t’as raison Gautier. Mais quand tu n’aimes pas le conflit et ne sais pas dire non, ce n’est pas facile.

Si on aurait dû refuser cette interview ? Je pense. Sans doute (rire) ! Mais on est là Trop gentils ! »