La chronique d’ED après Bordeaux – Saint-Etienne

La chronique d’ED seconde : retrouvez le billet d’humeur d’ED après la victoire du week-end dernier contre Saint-Étienne :
De là où je suis…

J’ai une vision qui m’amène une réflexion plus globale et bien sûr plus juste…

Ce match, on doit le gagner par 3 ou 4 buts d écart !

Avec la mauvaise foi qui me caractérise je le redis, nous devons gagner ce match très largement.

Il faut le reconnaitre, malgré la saine relation qu’il y a entre les ultras stéphanois et bordelais, nous avons gagné le match des supporters !!

Comment ne pas le reconnaitre, nous étions au moins 24.000 de plus qu’eux !

Alors ok, nous étions à domicile, et alors ?

Vous voulez encore un exemple de la supériorité sur ce match ?

L’homme qu’Harald Schumacher souhaitait voir « Sans dents » et qui a bien donné le coup d’envoi du match à joué 3 ans chez les verts et combien chez nous ??

5 ans !!

Victoire une fois de plus des Gigis.

Le moral ne pouvait être que chez nos valeureux joueurs et cela même, avant que l’arbitre n’ait fait retentir son sifflet.

Un public chaud, une mascotte en pleine forme, il ne manquait plus que 11 joueurs au diapason.

Si les premières minutes démontrent très rapidement le point commun évident entre Gilbert Montagné et Erding, il est agréable de constater que Gradel a laissé son talent en Afrique.

Une fois de plus, les Girondins ont été polis, laissant les invités tirer les premiers.

Hélas pour eux, à blanc, et non à Blanc, le coach du PSG étant hors sujet, comme souvent d’ailleurs.

Bref, Diego qui est seul dans sa tète et sur son coté a démontré que dans le football briller c’est bien, mais marquer c est mieux.

A la mi temps, le score ne peut en être autrement.

L’avantage d’être en virage, quand tu ne te trompes pas de coté, c’est de vivre la globalité des actions sans plisser les yeux.

C’est ce que les supporteurs du virage sud se sont dit, les principales occases se déroulant de leur coté.

Pour fêter cela, Leroy Merlin, partenaire des Ultramarines, avait décidé d’inonder de couleurs le virage.

Il y eut presque autant de situations dangereuses que de peintures sur les ponchos.

Sauf peut-être…du vert !

Rolan, souhaitant s’exiler au Mali, a refusé de marquer un second but, ne voulant pas offusquer LE Cheick. Et à l heure ou l’on attribue à l’Uru… à l’Uro… au Sud américain (c’est plus facile à écrire) un caractère de cochon, il est bon de saluer  le loupé volontaire de notre attaquant.

Au final, Sagnol fut Galtier  pardon gâté par son équipe qui renouait avec le succès à domicile.

Je vous donne rendez vous le 28. Il est temps de sabrer le champagne avant d’en faire de même avec les rémois à la fin du mois…

ED