Luka Elsner : « On va devoir élever le niveau sur pas mal de points »
Entre prudence et confiance, l’entraîneur d’Amiens, Luka Elsner, a lui aussi donné sa conf’ de presse d’avant ASC – FC Girondins de Bordeaux, demain, dans le cadre de la 7ème journée de la saison 2019-20 de Ligue 1.
Ses mots marquants :
« Le message, c’est de livrer une nouvelle grosse performance. Et je pense qu’on va devoir élever le niveau sur pas mal de points contre Bordeaux, car c’est une très belle équipe, dure à manier, qui a mis en place des choses intéressantes tactiquement, sur le terrain, avec un entraîneur que je suivais depuis longtemps ; quand il était à la Fiorentina ; avec son fameux 3-4-2-1 qui a inspiré, je pense, pas mal de jeunes entraîneurs. Donc voilà, on connait ce que le coach bordelais veut mettre en place, donc on va essayer de trouver les éléments pour continuer notre bonne dynamique, en sachant qu’on doit se renouveler à chaque fois, et refaire beaucoup d’efforts, ne pas faire du copier-coller. Il y aura, quand même, beaucoup de très bonnes individualités à Bordeaux, une équipe athlétique et qui manie bien le ballon, sachant aussi souvent tromper la vigilance adverse sur coups de pied arrêtés. Donc Bordeaux est une belle équipe et c’est un défi intéressant pour nous, qui va nous permettre de chercher encore de nouvelles ressources, de mettre encore une intensité différente afin de pouvoir se projeter et essayer de les battre.
(…) La pression ? C’est inhérent au fait de jouer des matches, mais on ne se place pas tout de suite en outsider en disant que, bon, advienne que pourra et si on ne prend pas de points et bien tant pis, ils sont meilleurs que nous et on se serre la main. On n’est pas du tout dans cette manière d’aborder les matches ni dans ces objectifs, car on essaye au maximum de contrôler notre performance en voyant comment on peut se préparer, nous, à bien réussir notre rencontre en amenant les supporters derrière nous. Ils sont un apport très précieux pour nous, et on espère un peu enflammer le stade de la Licorne, demain. »