Stéphane Martin : « Se reprendre tout de suite, ce qu’on peut faire avec deux matches à domicile »
Beau-perdant devant le Prince Albert II de Monaco, tout de suite après le match en Principauté (2-1 pour l’ASM), le président des Girondins de Bordeaux, Stéphane Martin, a été un peu plus expansif au micro de GOLD FM, pour parler de cette rencontre et de ses conséquences pour la fin de saison des Marine et Blanc.
« A Monaco, je crois que Gustavo (Poyet, le coach, NDLR) est déçu par la manière, et par certaines erreurs d’inattention. En première période, on a beaucoup de réussite et on s’en tire déjà bien à 1-1, mais à 30 secondes près on rentrer à 1-0 pour nous à la pause et peut-être que Monaco aurait gambergé, vu le nombre de situations qu’ils ont eues… Mais ç’aurait été un hold up, il faut bien le dire. Après, en deuxième période, je trouve qu’on a fait plutôt jeu égal, mais on prend un but regrettable, avec des fautes d’attention, encore. Sur nos trois derniers matches, on n’est pas lamentables, car on perdu seulement d’un but à Monaco et à Marseille et qu’on fait un bon match contre Nice, mais on n’a qu’un point sur neuf possibles… Alors, il faut se reprendre tout de suite, ce qu’on va avoir l’occasion de faire avec deux matches de suite à domicile (contre Angers et Rennes, NDLR). Il reste encore 10 journées, on n’est pas largués pour l’Europe, ça reste jouable ; mais il ne faut plus se rater, car on a patiné sur ces trois dernières journées. La course aux places de 5 et 6ème sera serrée, mais on n’est pas loin derrière et il nous reste 6 réceptions et 4 déplacements pour faire un coup. Mais, très clairement, on n’a pas de marge.
(…) Il faut positiver, et se dire aussi que Malcom – même si on regrette évidemment sa suspension – a pu se reposer et sera là pour nous amener la petite étincelle qui a peut-être manqué. En tout cas, concernant sa suspension, on a fait tout ce qu’on pouvait, mais on passe à autre chose… Il y a un championnat à finir, et on compte sur Malcom, déjà pour les deux prochains matches à domicile, où il peut faire basculer les choses. »