UB 87 : « Le club veut se positionner en victime et nous décrédibiliser »

Suite à leur premier « leak » (vidéo et audio + analyse écrite) concernant les choses négatives se disant entre les dirigeants actuels des Girondins et leur « conseil des membres », puis au communiqué des Marine et Blanc Île-de-France pour les soutenir et démentir les accusations de menaces contenues dans les extraits ayant été diffusés ce matin, les Ultramarines Bordeaux 87 ont encore communiqué pour faire passer les messages suivants, via Twitter :

« Bilan de ce premier enregistrement : un salarié des Girondins annonce que le club traquerait les adresses IP des supporters sur les réseaux sociaux. Messieurs Longuépée et Thiodet déplorent des attaques personnelles, qui impacteraient également leurs familles.Toute attaque contre la vie privée est, bien entendu, intolérable ; celle contre les familles, nous n’en parlons même pas. Jamais nous ne cautionnerons de tels actes, et contre qui que ce soit. Seulement, nous apprenons avec surprise qu’aucune plainte n’est déposée, malgré la gravité des faits énoncés.

L’explication de Thiodet, déstabilisé par la question qui lui est posée, est assez hasardeuse. Il nous accuse de manière implicite : « Nous comprenons que c’est le résultat de la colère et du courroux ». Ces faits-là, anonymes et invérifiables, deviennent donc à charge contre nous. Nous (UB 87) serions donc responsables d’envoyer des SMS de menaces à Antony Thiodet, et d’éduquer nos enfants afin qu’ils harcèlent la fille de M. Longuépée à l’école.

Le démenti des MB IDF- que nous saluons chaleureusement – est clair. C’est bien pire qu’un mensonge : M. Thiodet invente une histoire, qu’il raconte dans le dos des intéressés, afin de décrédibiliser les Ultramarines. C’est scandaleux. Dans ces conditions, permettez-nous de douter légitimement de la véracité des accusations précédentes tenues par M. Thiodet. En tout cas, la volonté du club est claire : se positionner en tant que victimes, attirer l’empathie, et nous décrédibiliser à tout prix, quitte à verser dans la mythomanie. A demain. »